Si l’empreinte carbone du numérique était un pays, elle serait 2 à 3 fois supérieure à celle de la France.
Aujourd’hui, alors que nous savons que les impacts environnementaux du numérique n’ont rien de virtuel, leur évolution est telle que les politiques publiques commencent à s’emparer de la question.
La fabrication, l’utilisation et la fin de vie de nos ordinateurs, smartphones, serveurs et autres data centers requièrent de grandes quantités de ressources naturelles et sont responsables d’une part non négligeable d’émissions de C02. L’obsolescence programmée prévue par les constructeurs ainsi que le faible pourcentage de recyclage (20 %) génèrent quantités de déchets électroniques.
🎯 Quelles solutions mettre en place dans son organisation ?
Il est important pour les utilisateurs comme pour les fabricants de comprendre quels sont ces impacts et d’envisager comment nous pouvons évoluer vers davantage de sobriété et de responsabilité. C’est pourquoi, après avoir réalisé un état des lieux, ce petit-déjeuner propose d’évoquer l’importance de la sensibilisation des acteurs à ces enjeux et de voir quelles sont les actions possibles.
Dans quelle mesure le numérique impacte l’empreinte carbone des entreprises ? Quelle est leur part de responsabilité dans la société vs. les citoyens ? Comment impliquer l’ensemble des acteurs économiques, politiques et civils dans la transformation de ce secteur ?
Pour nous aider à répondre à ces questions interviendront le 29 septembre, de 8h45 à 10h30, Julia Meyer, cheffe de projet numérique au service Produits et Efficacité Matière à l’ADEME, Aurélien Déragne, co-créateur et animateur de la Fresque du numérique et Frédéric Bordage, fondateur et animateur du collectif Green IT.